Ceux qui sont réfractaires aux CSS avancent généralement comme argument le besoin de compatibilité avec les navigateurs les plus anciens. Étrangement, il parfois moins de scrupules à pousser leurs visiteurs à utiliser la dernière version de Flash ou de QuickTime.
Il ne faut pas oublier que compatibilité ne veut pas dire rendu identique avec les anciens navigateurs. Beucoup le savent déjà, mais c’était juste pour enfoncer le clou en ce début d’année.