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En quête d’un nouveau portable – épisode 4

J’ai enfin reçu mon portable. C’est énorme.

Jusque là, j’étais resté coincé à l’an 2001 pour tout ce qui concerne le matériel. J’avais un modeste Pentium III 1GHz absolument pas prévu pour être dans un portable. Les applications devaient se contenter de quelques 256 Mo de RAM et s’afficher dans un minuscule écran 14″ en 1024×768. J’avais pris l’habitude de travailler sur ce portable et m’étais adapté à tout ces défauts. Indispensable si on veut continuer à travailler. J’arrivais à être efficace malgré les lenteurs lors de traitements trop importants. Cette machine me suffisaient amplement dans la plupart des cas. Bon, très bien, il n’avait pas de graveur, que très peu d’espace disque (compensé par un très gros disque externe) et pas de chip graphique performant. Et pourtant je bossais dessus sans problème.

J’ai enfin reçu mon portable. C’est énorme.

Jusque là, j’étais resté coincé à l’an 2001 pour tout ce qui concerne le matériel. J’avais un modeste Pentium III 1GHz absolument pas prévu pour être dans un portable. Les applications devaient se contenter de quelques 256 Mo de RAM et s’afficher dans un minuscule écran 14″ en 1024×768. J’avais pris l’habitude de travailler sur ce portable et m’étais adapté à tout ces défauts. Indispensable si on veut continuer à travailler. J’arrivais à être efficace malgré les lenteurs lors de traitements trop importants. Cette machine me suffisaient amplement dans la plupart des cas. Bon, très bien, il n’avait pas de graveur, que très peu d’espace disque (compensé par un très gros disque externe) et pas de chip graphique performant. Et pourtant je bossais dessus sans problème.

Mais aujourd’hui c’est un bouleversement. Je découvre l’informatique actuelle. Les processeurs s’adaptent à l’utilisation, les puces graphiques gèrent très bien la 3D, les graveurs sont capables de sauvegarder jusqu’à 9Go et les écrans LCD sont d’une lumosité suffisante pour avoir un teint halé au bout d’une journée d’utilisation. Un changement radical par rapport à la machine précédente, déjà vite oubliée.

Les envolements lyriques mis à part, l’Asus A6VC est très sympa. La machine est belle et la finition est bonne. Au fonctionnement, c’est rapide et silencieux, le souffle est si peu audible qu’on se demande si le ventilateur fonctionne bien.

Pour le moments le points positifs sont:

  • la configuration en elle-même. Je me demande si je vais réussir à exploiter tout ce que permet cette machine.
  • la présence d’un port firewire. En faisant un réseau IEEE1394, j’ai pu transférer très rapidement mes données de l’ancien portable vers le nouveau. Avoir la possibilité de faire des transferts jusqu’à 400MBit/s (théoriques) depuis une machine vieille de 4 ans, c’est plutôt pas mal.
  • le touchpad Synaptics. Il offre beaucoup plus de fonctionnalités que l’autre touchpad qui se contentait d’émuler une souris basique.

Pour les points négatifs je noterais:

  • le réglage du volume sonore qui se fait via une combinaison de touches. Un potentiomètre c’est tellement mieux, notament quand on veut être sûr que le portable n’emettera aucun son.
  • les flèches de direction trop petites.

Pour le moment ce ne sont que des premières impressions. Les détails seront notés régulièrement sur un wiki. Ceux qui veulent des détails auront ainsi une page plus complète et à jour qu’un billet de blog. Tout geek que je suis, je retourne faire mumuse avec mon nouveau joujou 🙂 .

4 replies on “En quête d’un nouveau portable – épisode 4”

Toutes mes félicitations et voeux de bonheur… En plus tu donnes envie aux autres. Je vais finir par craquer avant Noel avec ce genre de billet. 😉

Salut,

C’est bien Asus… mais dommage qu’ils se fouttent autant de notre gueule si on cherche à se faire rembourser la licence Windows, cf. http://linuxfr.org/~colinleroy/19222.html

Celà dit Windows est souvent nécessaire pour les étudiants… donc félicitations pour l’achat. 🙂

Bonne continuation !

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